Droit divin
Il est amusant de constater que lorsqu’un patron, à ses risques et périls ou non, lance un référendum dans son entreprise il est légitime, mais que ce n’est plus le cas lorsqu’un représentant des salariés, tout syndicaliste soit-il, le réclame ce n’est plus le cas.
Et c’est, bien entendu, le patron concerné qui le proclame.
Où l’on voit bien que la Révolution n’a servi que les grands corps et que la gouvernance royale existe toujours dans nos domaines.
A quand plus de démocratie dans nos lieux de travail où l’on passe bien le 1/3 de sa vie si le patron n’a pas décidé entre temps de nous viré pour cause que charité bien ordonnée comme par les autres et que le principe de clarté vaut qu’en cas de naufrage soient d’abord sacrifiés les plus inutiles à la tâche.
Ces derniers étant, comme de bien entendu d’un refrain chantonné, choisis et triés par le bon vouloir dudit patron qui est lui un vrai polyvalent.
De retour au tour de botte, un ancien coureur reconverti dans le consulting de radio-télé nous informe quelques temps sur la nature du vent au cours de la course en nous rappelant qu’il n’aura aucune influence sur le suivi de la course.
De la manière d’apprendre rapidement comment remplir un temps d’antenne d’une course en lenteur qui n’a rien à propose.
Moi, je veux bien embaucher car je suis aussi bon à l’écrit qu’à l’oral et du moment que l’on gagne l’on est digne de l’événement sportif que l’on couvre.
Je vous avais parlé au cours de deux interviews de l’importance pour certains malades du mieux être offert par une plante que l’on nomme aujourd’hui cannabis.
Et bien, l’idée creuse chez les députés puisque l’un de la Creuse a demandé officiellement à l_illuminé qui n’en a pas besoin, d’accepter la liberté dans sa région d’en faire culture pour uniquement un usage médical s’entend.
Merci d’avance de répondre positivement aux besoin naturels de moins souffrir pour ces personnes.