Double peine

Je ne parlerai pas, trop, de la peine qu’a eu un juge ne pas avoir pu résoudre une affaire. Et, malheureusement, un fois la boîte

Affaire non résolue, s’ouvre par la grâce de ses collègues décide d’en finir. Je ne (re)parlerai pas, trop, de cette dame qui est partie en nous laissant une loi dont nous pouvons être fiers.

Ce, d’autant plus qu’elle aurait certainement fait une attaque d’urgence en apprenant ce qui se passe dans ce beau pays dont on va célébrer très bientôt l’arrivée en force dont nous avons bénéficié encore à ce jour.

Je ne pense pas que nous puissions regretter cet état de fait, même si la chape économique imposée par ce pays est aussi lourde que les conséquences de l’inconséquence de leur chef premier concernant les pollueurs.

Je veux parler de ce droit qui me semblait fondamental, à ce que chacun dispose de son corps en bon intelligence avec lui-même.

Et voilà que des cowboys fous d’armes et de leurs chiens ont fait voter une loi interdisant cela aux femmes.

Mais comme ils ont bonne âme, ces pionniers de l’espèce humaine, l’autorise à condition que dame, visiblement peu concernée, ait l’accord de son époux, après tout pourquoi si les deux sont d’accord car s’il n’est pas beau de faire un enfant dans le dos – et pas si facile que cela – il n’est pas vraiment malin de s’en défaire sans en faire part au père.

Mais que dire de l’autorisation obligatoirement obtenue de la part du violeur auteur d’un acte odieux de se débarrasser de ce qui pourrait ressembler à terme à une vilaine tache ?

Comment peut-on, à ce jour, ne pas laissez librement l’être humain à disposer de lui-même et en l’espèce, pourquoi vouloir à tout prix considérer dame comme étant un sous homme alors que toutes les (dis)positions sont possibles d’un commun accord.

Je croyais, pauvre naïf que ce sort était seulement réservé à des barbares sectaires voulant imposer aux autres leur dogme…

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