Puis, une fois fait, ils s’en retournent dans leur pays qu’ils trouvent néanmoins bien beau.
Mais, alors que se passe-t-il pour la vraie vie des enfants, celles qu’ils vont passer quotidiennement ? Premièrement pourront-ils savoir le pourquoi du comment ils sont là ? Devront-ils leur vie durant se sentir migrants dans leur propre chez soi ? Lorsque l’on souhaite agir pour la protection de l’autre, on ne l’oblige, on se doit de l’accompagner pour que son destin ne soit pas un enfer d’interdits.
La religion n’a rien à voir la-dedans car elle est privée et ne concerne que ceux qui le veulent.
La médecine ne peut que constater que ce qui était impossible l’est aujourd’hui et c’est bien ainsi.
Le sociologue en fera de même pour en déduire une théorie si son intelligence va plus loin que son propre profil.
Le psychiatre psychologue, le théoricien de nos vies ne peut actuellement dire le bien ou le mal puisque la question n’est jamais arrivée légalement.
Et jamais une réponse n’a pu être donnée sans interrogation préalable.
Je sais, ces gens, dans leur petit esprit, invoquent leur liberté pour imposer aux autres une non liberté.
Pour ce faire, ils se croient supérieurs, plus compétents que les autres qui ne sont que de pauvres abrutis sans instruction, tout juste sachant lire mais surtout ne pas savoir vivre.
Pourtant cela ferait chouette dans les salons haute couture, une tasse de thé dans la main, juste avant de déguster, la question qui tue : « Et vous très cher(e), de quelle filiation êtes-vous ? ».
Agréable de répondre, de celui qui a donné et de celle qui a créé : « Mais ne vous y perdez pas autrement très cher(e), à la vérité actuelle ce qui compte ce sont ceux qui m’ont élevé mes parents.”
