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D’ici ou d’ailleurs

La question se pose. Rappelons les fait votre honneur. Voici une population qui a subi fortement les effets d’une pandémie.

Comme il ne s’agit pas d’une épidémie, chacun comprend que ce mal atteint presque tous les pays.

L’État, et nous resterons français, a engagé un endettement qui un jour sera payé par tout le monde, pour donner quelques jolis milliards à des entreprises pour qu’elles ne licencient pas et quelques autres pour qu’elles se maintiennent en vie.

Seulement, voilà, certains patrons abusent.

Ainsi, les moins malins le font à guichet ouvert qui permettra une certaine vérification à rectification.

Mais les autres trouvent des astuces sur front social à faire pleurer n’importe qui est sensible au destin des autres.

Un constructeur de belles autos produites en trop grand nombre a choisi pour mieux démarrer de faire appel à ses salariés venus d’ailleurs au lieu de choisir de faire court en prenant les chômeurs ici-bas.

L’État, de sa belle voix, fait demande que les salariés du crû soient favorisés.

Alors la question : préférence nationale ou pas ? Oui, il faut bien l’avouer même à la perte de faire plaisir à l’extrême droite.

Mais, en fait, le vrai scandale est de laisser le privé décider pour la collectivité qui n’a plus qu’à regarder.

Mais, le scandale est de prendre les milliards d’aide d’un État pour aller faire autrement que ce qui a été demandé de faire.

D’ailleurs, il ne semble pas vrai que les salariés de l’Est vont toucher le même salaire que ceux de France.

Ce qui semble être vrai, c’est qu’ils vont toucher le minimum prévu par la branche, ce qui n’est pas forcément pareil.

Soit ils sont payés à la hauteur de leur capacités et il est normal qu’ils aient du travail.

Encore faut-il, évidemment, que ce savoir faire est supérieur aux possibilités d’embauche intra.

Il est tout de même formidable que par ailleurs, l’embauche de saisonniers étrangers se justifierait parce que les français n’acceptent pas de travailler dans des conditions dégradées.

Certains vignerons se justifieront que ce sont les traditions.

Ils n’ont certainement pas constatés qu’elles se doivent d’évoluer pour exister.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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