Devenir

J’avais déjà exposé le fait que notre impérieux avançait face cachée mais corps au vent.

D’une politique économique de droite libérale, en fait, il insufflait un souffle de gauche, d’une tempête virant à l’extrême.

Ce n’est pas à y croire, mais…Quel diable d’homme peut réunir en son sein, que je ne saurais voir, des gens de tout genre, de toutes espèces politiques, c’est rare que même les plus grands capitaliste de la planète se sont damner le pion pour tenter d’en être.

Pensez dans la langue de Molière il haranguait les foules leur faisant connaître un esprit libertaire, dans la langue d’Outre Manche comprise Outre Rhin et Outre Atlantique, il faisait fantasmer les Piscou de tout genre mieux que la courbe montante du cac40.

Dans la langue de Don Quichotte, je ne sais car je n’y comprends vraiment rien dans le délire d’être ou ne pas être indépendant.

D’une pub vu d’un maintenant consultant en parcours professionnel.

Les chômeurs cadres les connaissaient bien et pour la plupart louaient leur art dans le bien faire qu’ils ne pouvaient rien faire ; et qu’il vous fallait vous débrouiller seul pour refaire surface.

l’un de ces salariés tranquilles dans leur poste acquis, faisait savoir à qui voulait l’entendre qu’il fallait jouer au bon petit soldate et basta.

Il ajoutait sous la confidence qu’il essayait en fait que certains de ses clients n’en finissent pas d’une vie qui n’en fini pas.

Mais sans doute suis-je mauvaise langue.

Sans que, depuis qu’ils ont perdus leur contrat francilien, 5 ans tout de même, ils se sont rachetés une conduite, et que l’officine désormais tourne rond : ce serait dommage que ses salariés soient obligés de pointer au chômage.

A propos, il est intéressant, mais navrant, de constater que, sûrement, l’état va faire comme le privé en favorisant des départs volontaires chez ses fonctionnaires qui bien entendu auront tout compris pour profiter de l’aubaine et prendre deux ans au frais de la princesse.

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