Désormais…

Désormais, que la Covid a pris ses aises et se permet d’inviter ses petits, les gens bien, souvent de Paris, reprennent petit à petit leurs habitudes de vie.

Remarquez, qu’en grande partie, ceux de Province aussi, mais qui s’y intéresse vraiment ? Ainsi donc, les sachants ultra-libéraux reprennent place sur les plateaux aseptisés pour aiguiser leurs couteaux pourtant déjà suffisamment acérés.

Ils le font d’autant plus que l’opposition, la vraie, celle qui a quelque chose à dire n’est guère invitée sauf elle accepte faire plante verte.

Ce qui prouve en passant, le besoin inconscient d’une certaine vie en regardant la bouteille à moitié pleine.

Et le discours allant bon an mal, poussé par un ministre des affaire financières de l’entreprise France, prend pour base la nécessité ultérieur de rembourser immédiatement l’énorme déficit creusé par une population toujours plus importante avide de prestations sociales.

Pensez donc, il paraîtrait, une fois le virus stoppé, que des clones de gilets jaunes reprendraient les rond points pour faire marcher au carré les saltimbanques de la politique.

Ils envisageraient même de non pas réclamer le revenu universel pour tous, mais de le mettre en place.

D’autres encore, prendraient l’initiative de loger dignement les Sdf.

Où va-t-on s’il n’est plus toléré le liberté d’être sans toit disent les biens pensant.

Et est-il vraiment raisonnable de leur faire perdre leur identité si chèrement acquise ? Donc passons aux choses sérieuses, le remboursement de la dette.

Et, comme par hasard, les déclarations intempestives d’hommes cravatées, ou de dames avec ou sans écharpe, dérivent sur le scandale des 35 heures qui les empêcheraient de dormir.

Inutile de dire qu’ils profitent copieusement de leurs Rtt mais à l’insu de leur plein gré.

Sauf les patrons qui eux adaptent leur temps de travail selon leurs besoins.

Ils font remarquer que ces fameuses Rtt n’ont jamais créer le moindre boulot.

Mais font l’impasse sur le fait que, peut-être, faire travailler plus ceux qui travaillent déjà, n’ouvre pas forcément le chemin de l’emploi de ceux qui n’en ont pas…

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