Mais l’on n’arrête pas la modernité.
Les pays concernés en ont marre de se faire pomper l’énergie sans retour même pas un petit ruissellement.
Aussi devient-il très aléatoire de s’éloigner pour déguster ces jeunes gens prêts à tout pour un repas.
Mais de l’autre côté, les réseaux sociaux font rages.
Vous le savez : qui présente une vidéo alléchante peut recevoir des cadeaux par des anonymes intéressés.
Aussi, dans ces pays délaissés, la parade a été trouvée.
L’on oblige plus faibles, et mineure si possible, de se faire filmer, bientôt sans doute dans des positions dont la pudeur tait le nom.
Et ainsi, les cadeaux pleuvent.
Petits me direz-vous puisque généralement ce sont quelques centimes versés.
Mais, à plusieurs milliers, voire millions de vue, cela commence à compter.
Et, désormais, le grand capitalisme se frotte les mains : les macs comme à leur accoutumée, le pouvoir public de cette arrivée de fortes devises plus faciles à capter, le propriétaire et ses actionnaires du réseau en question, se réjouissent d’agir au grand jour.
Qui dit mieux que l’esclavage au vu et au sus de tous ? Certes, cet ancien président plus soucieux aujourd’hui de faire du pognon de dingue, a parfaitement raison de dire que « l’un des problèmes de notre démocratie, c’est la véritable impossibilité de débattre sans s’insulter ».
Un autre gros problème à soulever est qu’il est quasiment impossible de faire taire un individu disant n’importe quoi dans on ne sait quel délire monétaire dans lequel il s’est enfermé.
Selon une étude américaine recherchant la joie d’être selon ses revenus, laisse apparaître que l’individu est satisfait à partir de gains annuels de 58 000€/an.
Le geste ne dit pas si c’est après ou avant imposition.
De toute façon pourquoi toujours questionner ceux qui n’ont pas mais croient savoir ?