Des questions intéressantes, mais de mauvaises solutions

La déjà plus cheffe de son nouveau parti qu’elle a créé pour se débarrasser de celui de son père avec qui elle s’est rabibochée, aime toujours les chats, les jeunes bobos et toujours pas les migrants.

Pourtant, elle a fait tout plein d’efforts, à la suite de son père, il faut bien le dire, pour rester dans les clous de la démocratie française.

Même, si elle semble préférer les démocraties d’autres pays totalitaires, elle a forcé ses vieux sbires à prendre le tournant de la bonne parole.

Et, c’est ainsi qu’elle a réussi à se rendre présentable dans les bourgs et campagnes ravis de comprendre ce que peut dire un politique.

Il est certain que les thèmes de base, la communauté européenne qu’elle ne veut plus désormais quitter, mais pour y rester il faudra bien accepter ses conditions, et l’immigration dont elle estime qu’au minimum elle doit être largement réglementée.

Ce qu’elle ne dit pas c’est que sortir de la Cee risquerait bien de nous mettre dans le pétrin et au prix du pain, la facture risque d’être très lourde.

Nous ne sommes pas une île et nos frontières les sont avec des pays actuellement amis rendant poreuses ces zones à haute tension.

De toute manière, elle tait également le fait qu’elle sait que ce n’est pas l’immigration qui est un problème.

Ces sont les conditions de vie des peuplades qui sont en cause.

Et, l’immigration zéro est contre la nature humaine.

Ou alors, il faudrait balayer devant sa porte en interdisant les français à s’expatrier.

Enfin bref c’est de la bouillie de petit chat même si elle prend les problèmes d’un autre côté que la politique actuelle.

Dommage que ce ne soit pas le bon bout.

C’est un peu comme la catastrophe des délinquants en bande organisé semant la terreur dans les cités déjà sensibles.

Oui c’est un vrai sujet ces violences de tout instant.

Dommage que la gauche ne veuille pas prendre ces problèmes à bras le corps.

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