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Des amateurs de café critiquent les dosettes

Les dosettes, qu’elles soient en aluminium ou en papier, sont propres et d’une utilisation plus pratique que celles des cafetières de toutes sortes d’antan, les machines, généralement en vente promotionnelle sont conçues pour extraire un maximum d’arômes du café et s’intègrent bien dans les cuisines modernes, cependant, elles sont critiquées.

Le grand public a pu lire dans une tribune récente, paru dans la presse, qui vise plus particulièrement les dosettes de café en aluminium, mises sur le marché par une multinationale suisse créatrice des dosettes, qu’elles étaient « chères, polluantes et peu recyclées ».

Voyons d’abord l’absence de recyclage, un reproche important dans le monde dans lequel nous vivons et qui concerne principalement le créateur du système qui voulait en avoir le monopole en créant un univers fermé combinant les machines et les dosettes en aluminium, qui est en bonne voie de s’effriter.

Les clients de la marque sont invités à rapporter en boutique ou dans des points de vente de collecte les dosettes utilisées, ils s’en lassent en l’absence de toute contrepartie.

Ainsi, une capsule sur cinq est recyclée, l’aluminium est séparé du marc, plus refondu, après avoir été obligatoirement nettoyé, ce qui pose problème et justifie le reproche de la pollution, qui en découle.

Pour ce qui est du prix, les clients paient autant le service que la qualité du café, qui doit être irréprochable.

Payer entre 32 et 42 centimes une dosette qui contient entre 5 et 7 grammes de café, fait très cher par rapport au café classique ou en grains.

Ainsi, le budget annuel d’un consommateur de café, en intégrant le prix de la machine peut, varier du simple au triple, entre 110 et 365 euros par an, pour une consommation moyenne.

Cependant, le fin du fin, pour avoir du café frais, c’est de le tonifier soi-même, au jour le jour, à la maison.

Judex

Judex est un juriste de la vielle école qui a fait sienne la maxime du professeur Léon Mazeaud, son président de thèse de doctorat , "Que le droit ne s’apprend pas mais se comprend "  en ajoutant " à la condition d’avoir, si possible, l’intelligence du droit "

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