Députée entière ou … ?

Elle est charmante, elle est souriante, on lui donnerait volontiers nos enfants à garder à celle qui pourrait être notre gentille et serviable voisine de palier du quartier de chez nous.

Et, d’ailleurs elle a été élue facilement dans cette nouvelle d’un tsunami ne disant pas son nom et n’ayant pas encore laisser voir tous les dégâts qu’il cause.

La dame sure de son fait, se lève vent debout contre toute tentative d’instaurer légalement la possibilité d’une Pma assistée médicalement.

Sans doute, préfère-t-elle pour des raisons obscures – bien qu’elle ne semble pas autorisée à parler au nom d’une secte – que les personnes intéressées aillent ailleurs voir comment faire et le faire compliquant ainsi un peu plus la vie de celles-ci.

Le chemin des intentions que l’on croit bonnes est souvent la marche la plus rapide vers l’enfer.

Mais qu’ont donc ces gens qui eux entendent faire imposer leur volonté à d’autres, qui eux s’avouent fortement concernés dans leur chair ? Un choix serait possible.

Et comme tous les choix, il suffit de choisir de faire ou pas pour respecter ses besoins, nécessités, choix, avis et croyances.

Arrêtez de vous mêler de la vie des autres, la vôtre doit être suffisamment trépidante pour éviter d’enquiquiner  celle de vos voisins d’infortune.

Ce qui est surprenant dans ce grand débat, c’est les réflexions du groupe parlementaire qui lanterne à prendre décision en décidant que la liberté de parole et de pensée ne devait pas être sujettes à l’exclusion.

Certes, mais alors pourquoi le se sont-elles dès que l’on parle économie et finances ? Deux poids, deux mesures, ou peut-on légitimement craindre le pire sous la tranquillité des bonnes intention pavant la chaussée d’En marche ? Il semble que pour certain, beaucoup, l’escalier soit trop rude pour suivre le premier de cordée qui peine à dire son nom et peut-être à gravir la dernière marche !

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