Ce sont les derniers chiffres records donnés par l’Onu sur les migrants.
Ils sont en grande partie mal reçus par les pays riches, trop riches de ne pas voir les richesses que cette population peut apporter au genre humain.
Et de se conduire ainsi est une bombe à retardement bien plus aggravante que les complications liées au choc des cultures, à l’acceptation d’un autre différent d’un autre monde social et religieux que celui des habitudes ancrées.
Et cette bombe est représentée par le fait soudain que tout le monde a tenté de cacher jusqu’alors : 50% de 68 millions, soit 34 millions sont des enfants qui un jour se rappelleront comment ont été traités leurs parents et grands parents.
Et il n’est pas sur qu’ils attendront la troisième génération…
Et ce n’est certainement pas l’appel d’Outre Atlantique visant a séparé les enfants d’immigrants de leur parents, ni celui désespéré du coulé de droite aux dernières élections à ses deux autres comparse dont il découvre les similitudes étroites, qui vont arranger quoique ce soit.
Il serait temps de réapprendre que le droit au sol n’existe que dans la tête de ceux qui se sentent propriétaires de chez eux alors que de tout temps l’être humain n’a cessé sa transhumance en faveur des aléas climatiques et par besoin d’extension naturel.
Un couple vient d’être condamné à combler la mare se trouvant sur leur terrain.
Ainsi en a décidé la cour d’appel suivie en cassation contredisant le jugement de première grande instance.
Les voisins en avaient marre du tintamarre des grenouilles ayant pris position de cet endroit pour se décupler.
Personne n’a semble t-il envisagé de traduire les batraciens pour les prier d’aller sur d’autres terres mouillées se reproduire.
Et peut-être que demain ce seront les mêmes qui jugeront de la peine infligée à ces pauvres petites bêtes qui croassent à 63 décibels.
Autant de boucan que dans les hlm au moment fatal…