Décrété mais pas acté ?

N’y voyez aucune malice si l’état d’urgence sanitaire se prolonge jusqu’en juillet puisque paraît-il vos élus étaient présent pour donner leur avis.

D’ailleurs, ailleurs c’est pire, comme ce pays, pourtant européen, certes de l’Est, où son dictateur en a profité pour virer le droit à l’avortement et le droit de le virer.

Chez nous les patrons confirment qu’ils sont fous et incapables de prendre pleine connaissance de la crise actuelle qui ne va cesser s’étendre si on les écoute.

Et, pas question d’attendre les velléités gouvernementales.

Ils sont tous pareils premier de classe à hautes études.

Et, pour réussir, ils ont appris par cœur.

Ils ont recraché parfaitement ce qu’ils ont appris.

Et on obtenu leur beau diplôme a faire pâlir un sans botte.

Problème, c’est que pendant ce temps là, il n’ont pas appris à apprendre et pourtant on leur a confié les clés des plus hautes entreprises.

Il est vrai que pour la plupart, elles étaient possession de leur père voire leurs paires.

Aussi ont-ils bien compris que si la demande manquait il fallait augment l’offre.

Ainsi, ils conseillent de faire travailler plus les salariés et de leur supprimer quelques jours de vacances pour mieux occuper leur temps, pour tout simplement augmenter l’offre.

Ils ne savent pas les gars, ce ne sont pas eux qui font les comptes, juste besoin de quelqu’un pour leur rendre compte.

Et là plantés, ils ne savent plus quoi inventer.

Tenez un de leurs thuriféraires, sympathiques journaliste économique sévissant sur une chaîne d’info en continu filiale de première de cordée de la Tv, dit en toute simplicité qu’il accepterait un taux marginal d’impôts porté à 50 % (soit +5 qu’actuellement)  sous réserve que tout le monde paye des impôts.

Il a cru bon de rajouter que seuls 50 % des français payaient leur soulte.

Car le pauvre, sans souci de fin de mois ne sait pas que la quasi totalité de cette moitié gagne à peine 1300€ tout confondu.

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