Il a décidé de fêter joyeusement l’anniversaire de mai 68 alors qu’il n’a jamais connu, si c’est par ouï dires, ce printemps festif d’un rassemblement populaire ayant furtivement regroupés des catégories sociales que l’on croyait pourtant ennemies à jamais.
Mais, il semblerait que l’extrême gauche, enfin ceux qui pensent l’être encore ou l’avoir été, ait envahi le palais pestilentiel en conseillant adroitement un président en recherche de repères que ses prédécesseurs n’ont pas eus.
Car voyez-vous, la vraie préoccupation de ce maître des lieux n’est pas de gouverner, mais de se démarquer d’une concurrence passée qui pourtant ne reviendra si ce n’est pour lui remettre les clés mais il a dit et répété « pas de Calais ».
Une autre démarcation est la chasse aux « fake news » tel un cow-boy sorti de ses steppes amazoniennes dont on ne comprend pas trop la raison de son émancipation.
N’en a t-il pas profité pour être élu avec si peu de soutien et de voix au premier tour et primaire d’avant qu’il a dédaigné ? Mais voilà une bonne nouvelle qui ne portera pas atteinte à la démocratie et ne chassera pas le scoop matière première du journaliste, du moins pour ceux qui ont connu naguère mai 68.
Facebook dans un temps ancien, du moins pour son mode de vie qu’il veut nous imposer lui-aussi, avait tenté d’essayer avant de s’apercevoir que ses amis cliquaient beaucoup plus volontiers sur ces foutues pages que nulle part ailleurs.