Débattons…

Et le débat sur le port de la cravate dans l’hémicycle revient au galop des grands principes des grands bourgeois.

Certains confirment même encore leur attachement à cet outil vestimentaire ostentatoire qui paraît-il serait la preuve du respect vis-à-vis du peuple.

Or, il ne me semble pas, pourtant j’ai tenu plusieurs bureaux de votes, avoir entendu une personne déposer son bulletin dans l’urne pour que son favori porte la cravate.

Par contre, j’ai bien compris les attentes pour la vie de tous les jours s’améliorent.

Mais, c’est bien connu, lorsque l’on veut tuer son chien, l’on dit qu’il a la rage.

Attention cependant, au retour du bâton.

Une dame bien sous tout rapport s’enquérait de manger un hot-burger en repas sous ce soleil si chaud.

Gourmande qu’elle était, elle voulut savoir si la saucisse était digne d’elle.

En lieu et place, elle trouva un lézard dans sa plus belle mort.

Sans doute celui-ci a-t-il été grillé dans sa quête incessante de chaleur abondante.

L’histoire ne dit pas si la belle s’est fait remboursée.

Ou si elle a emporté son trophée pour le faire encadrer.

Au fait les mordu(e)s du féminisme, quant crierez-vous votre colère de voir toujours signifier « Sage-femme » à un homme qualifié ? Auriez-vous trop peur du terme Sage-homme » ?.

Nous en avons de la chance.

Au travers des sanctions sur la Russie actuelle, nous pouvons découvrir avec frayeur une nouvelle dépendance.

Privée des avantages de la nouvelle Tech, comme ils disent, sur le plan des licences, des techniciens compétents et du matériel, l’Occident est ravie de pouvoir espérer renvoyer leur ennemie à l’âge de pierre.

Si cela n’arrive pas encore, l’on peut se poser la question de ce qui pourrait se passer si un tel boycott arrivait à la France.

Bien sûr, ce ne serait pas 100 %, lais lorsque l’on voit la pataquès avec seulement 7 % de dépendance au gaz, il y a de quoi se faire des cheveux.

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