De prime abord

Je suis arrivé à temps, ouf, bof, pour avoir la joie d’écouter la première du nouvel entraîneur de foot de l’équipe du rocher qui se dit indépendant tout en dépendant des subsides de notre si chère douce France.

Plus langues de bois échangées entre les intervenants, tu es obligé de revoir l’intégralité des systèmes de communication qui nous gouvernent actuellement en se demandant s’ils n’ont pas pris la main sur la finance ayant pris le dessus sur l’informatique.

quoiqu’il faudrait certainement se dépêcher à changer car c’est vraiment n’importe quoi : une séance d’ plus de 30 mn de rien à dire car il ne pouvait rien être dit, c’est malheureux banal.

Si l’entraîneur en avait trop dit, le journaliste aurait été trop heureux d’avoir son faux scoop étant donné le monde dans la salle.

Si le journaliste avait posé d’autres questions, il n’aurait pas été.

En fait, ce qui était important c’était plutôt ce qui n’avait pas été dit et le comportement du questionné.

Perso, cela fait peur : d’une pub pour être soldat aviateur.

Une image d’une personne non identifiée dans la carlingue ouverte fusil mitrailleur en mains sorti entendre dire « que de l’adrénaline » on se sent plus, ou je ne sais plus quoi me fait dire qu’il n’est décidément pas bon d’être du mauvais côté.

Les cons, j’ai d’autres mots en service mais ils sont de connotation encore pire, sont encore de sortie et sont plus dommageables lorsqu’ils sont chargés de transportés les autres qui se sont laissés aller des expressions amoureuses que la morale commune n’expie pas s’il s’agit de deux personnes adultes consentantes de sexes qui s’opposent sans cesse.

Le malheur a voulu qu’un couple d’hommes avait demandé d’être pris en charge et nom d’être vulgairement agressé par un professionnel de la route qui n’a rien compris à la liberté de l’autre d’être différent.

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