L’argent est partout à bourse déliée. Notamment dans vos porte-monnaie que vous comptez sans dépenser vos Euros épargnés.
Rendez-vous compte 1 400 milliards circulent aisément dans un temps om le sans contact est de vigueur.
Le tiers de cette somme , 424 milliards tout de même, dort sous vos matelas assoupis.
A ce niveau, il n’y plus de valeur.
Sauf que les financiers veulent mettre le grappin dessus tant ils estiment « que c’est un bien gratuit à supprimer ».
Non pas pour éliminer une partie de la dette des pays endettés, ce qui serait noble en soi, mais uniquement par idéologie outrancière néolibérale de droite extrême sans peu du ridicule de l’extrême.
Ainsi, plus de monnaie en circulation, plus d’obligation d’un compte bancaire.
Les intermédiaires que sont les heureux banquiers, sous couvert de sécuriser vos rentrées d’allocations sociales ou permettre des crédits à faible coût tant ils seront mieux couverts, seraient ravis de posséder les données de tout ces gens hors leur radar tant ils sont pauvres.
Et, c’est ainsi comme par hasard, que le soi-disante association caritative qui sévit en Afrique pauvre, c’est-à-dire presque partout sur ce continent, dont le statut est Fondation Gates est mêlée à toute cette histoire de toujours plus d’argent pour les riches et d’emprisonnement pour les autres.
Méfiez-vous, un qui a su faire de l’argent continuera à le faire même à son corps défendant à l’insu de son plein gré : c’est une réalité avérée.
Mais ces êtres en col blanc sont sortis de leurs bureaux avec salon en cuir climatisés et se sont aperçus que par temps de crise si l’économie financière ne s’arrête pas, c’est grâce à ce long fleuve tranquille qui coule de source.
Même mes pays frigorifiés ont dû revenir en arrière lorsque les associations de leurs pays leur ont rappelé que même chez eux il y avait des « autrement ».
Ils ont réussi à leur faire crédit !