De bonne autorité républicaine

Quand on vous dit que le gouvernement était gentil dans sa volonté de réformer en douceur.

Il voulait faire passer sa retraite à points en mettant l’âge de départ plus tard dans la vie humaine, maintenir le montant des pensions, dont on sait qu’elles ne sont pas depuis la saillie de l’illuminé au cours d’un monologue de Débat « oui chef » avec l’armée terrienne.

Puisque les opposants, non républicains qui ne savent même pas ce qu’est une dictature, sans parler de démocratie, continuent leurs discours négatifs, il a été décidé d’apporter au débat qui n’a pas eu lieu, les chiffres tant réclamés à corps et à cris.

Et, là, l’on apprend avec stupeur que l’âge pivot suivant l’âge maintenu de départ est battu à plates couture par l’âge réel auquel il faudrait prendre sa retraite fixée à 65 ans.

Ce qui permettra de réduire la dépense sociale à seulement 13 % du Pib.

Champions ces capitalistes qui arrivent à baisser les coûts alors que les allocataires sont nettement plus nombreux et restent en poste nettement plus longtemps.

Mais laissons l’état en son état et voyons s’il est capable d’écouter sagement son Conseil éponyme et d’en tirer de bonnes leçons.

Sinon, l’illuminé continue à faire rigoler.

Lorsqu’il se sent en danger, moralement voire physiquement, il n’hésite pas à faire appeler la garde pour faire tenir son ordre.

Lorsqu’il se sent libre comme un vent mauvais, il faribole sur les extras policiers tapageurs.

En somme, malgré son air de premier de classe de la meilleure cordée financière de France, il reste et demeure un fond de bon vieux français mâtiné.

C’est au cours Florent qu’il aurait du faire ses classes tant il est doué pour les estrades où par terre siège un bon public acquis à son règne impérial tout puissant d’une République dont il sait extraire les limites de son autorité de jeune coq qui n’en a pas l’air ; ha ça ira, ça ira…

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