De Biarritz au Brexit

Les épouses des grands du G7 étaient en balade pimentée en pays basque. Il y avait, parmi elles, des hommes.

Comme quoi, les choses avancent sur le genre qui ne fait pas le squelette.

L’on dit que dans un hyper marché, il y avait beaucoup de bruit.

Pourtant, les caissières avaient été remerciées pour cet après-midi.

Or, c’est bien connu qu’elles n’avaient pas beaucoup de temps pour parler.

Les clients sont furieux de l’accueil.

Ils ne sont pas encore concernés par ces futures adeptes de pôle emploi qui viendront rapidement les rejoindre pourtant.

Mais il est vrai que les vrais recherches pour de faux emplois prennent tout le temps disponible sinon gare aux contrôles à distance de bureaucrates à distance confortablement installés dans leur fauteuil éjectable à défaut de rendement viable.

Aussi, reste-t-il le dimanche pour vaquer à ses courses, ce que le patron distributeur a bien compris de son modèle imposé à plus faible.

Le Brésil en son sosie de clown auguste triste, rejette la proposition de la Cee pour la replantation d’arbres en sa partie de forêt d’Amazonie.

C’est sans surprise puisque cette offre est contraire à sa réelle volonté de déforestation à tout va pour le bien précaire des ses riches récoltants planteurs d’autres choses.

Mais, sans doute, s’il ne s’agit pas là encore de velléités, la décision de recherche décidée par l’illuminé de ne plus leur commander le soja dont nos éleveurs de bovins ont besoin à condition de pouvoir en produire sur notre espace ou de s’en passer…Nous avons une belle grande forêt landaise qui n’était pas quelques siècles en arrière.

Ça pourrait le faire, non ? En plus on gagnerait en circuit court.

Quel est la différence entre un migrant et un résident ? Aucune, les deux veulent franchir la Manche, les uns en nageant , l’autre en volant.

Comme quoi que l’approche d’un Brexit même dur ne fait pas reculer grand monde à part le milieu des affaires qui se croit important.

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