Et, il semblerait aussi et encore qu’il s’agirait d’un appel d’air pour 2018 car celui qui est parti n’a pas fait que creuser sa propre tombe.
Allons-nous jusqu’à saigner nos plus riches qui, il faut le rappeler, commencent à partir d’un super revenu de 1 200€/mois puisque ce premier estimait que l’on pouvait bien vivre avec 1 000€ sans donner les adresses correspondantes, cela aurait été sympa, mais aussi précieux pour nous tous pauvres consommateurs stupides.
Car, oui c’est vrai, ce monsieur sait comment s’y prendre pour ne pas dépenser et se placer au-dessus des lois du sérail. L’affaire de sa petite escapade à l’air de gonfler sans manquer d’air puisque les forces en cause sont allaient voir dans deux sièges sociaux de quoi il retournait, remarquez 100 000€ pour des frais d’hôtel, c’est normal pour un futur président déjà ministre de notre argent.
Moi, je veux bien y aller, dans ces conditions, pour vanter le higt tech français bien de chez nous.
Pendant ce temps-là, les coups bas repartent comme cela existait dans une politique d’avant, mais c’était avant : le président du groupe majoritaire unanime je ne veux voir qu’une seule et même tête et si possible la mienne, n’a pas attendu que l’encre de la nomination de son maître d’assemblée pour rappeler l’engagement macronnesque de déguerpir à mi-mandat ?
Certainement que ce n’est pas vrai que le monsieur veut toujours plus.
Et puis, comme cet engagement est anticonstitutionnel pour le poste visé qui est pris jusqu’à la fin de la législature, il devrait pouvoir attendre longtemps un désistement sauf si avec des affaires certains postes ministrables jouent aux chaises musicales.
