Copains, coquins ?

Pratique, le fait que cela soit connu de tous les élus qui se permettaient de payer rubis sur l’ongle leur cotisation à leur parti sur le dos des fonds publics versés d’avance pour frais à venir de député en marche, crédibilise d’un coup d’un seul, l’action faite au su de tout le monde de ses arrangements financiers.

L’on ne voit pas trop bien pourquoi, l’on met des êtres humains en prison puisqu’autres avant eux ont commis les mêmes méfaits.

C’est vraiment chercher la petite bête à un grand homme foudroyé dans sa grande quête de destin national et certainement plus.

Mais voilà, il voulait laver blanc plus que blanc sans même avoir un échantillon sain à présenter comme tout bon commercial qui ne peut pas respecter son produit qui le fait souvent manger et bien.

A propos, le pauvre ancien économe de ses finances, a perdu quelques unes de ses connaissances désagréablement surpris d’être si mal servis au cours de festins d’affaires où l’épouse s’exposait en sacrifice pour la plus grande gloire de son mari.

Mais les sages ont jugé : aucun repas n’était festif, tous étaient de travail.

Et n’allez pas croire qu’il y avait des copains dans ce groupe zélé auquel il appartenait.

Encore un politique déglingué par la morale d’une partie parlante de la société.

Toutefois, il faut considérer que si ces formes d’actions ne sont plus acceptées, ni même tolérées, c’est que l’on demande toujours trop à ceux qui n’ont rien.

En laissant croire que ceux qui ont tout font encore plus.

La manière la plus simple pour revenir sur les rails d’un bon train, serait tout simplement que le travail des députés servent à autre chose que défendre les intérêts de ceux qui n’en font que vivre et jamais s’intéresser vraiment au quotidien des gens qu’ils représentent, électeurs pour et contre.

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