Conseillère même combat

Pôle emploi n’en peut plus d’autant de chômeurs même s’il est vanté la descente de la courbe des enfers.

Mais, qu’on se le dise, un chômeur se doit passer son temps non pas à chômer, il n’est pas payé pour cela, mais a (re)chercher l’emploi qui pourrait lui permettre de dégager de ce pôle chaleureux.

Alors, ni une, ni deux, faute d’avoir contact avec son conseiller qui a sans doute autre chose à faire que de s’occuper d’un gars licencié d’un contrat à temps partiel d’un petit boulot ne dégageant pas grand-chose en solution financière et donc en indemnités d’allocations chômage, notre chômeur stylé se branche sur l’appli d’inscription pour décrocher le job de ses rêves, Il remplit bien toutes les cases offertes et valide pour recevoir la liste des employeurs enthousiastes.

Première surprise, deux propositions sortent du chapeau qui ne déborde pas pour des emplois en Province car bien entendu notre ami a le culot de résider, excuser du peu, en Île de France où manifestement la recherche de salariés en attente n’existe pas.

Il est vrai aussi que, c’est bien connu, en plein mois d’août l’activité saisonnière ou non, dans cette petite misérable région désertée, il n’y a plus personne au numéro que vous avez demandé.

A propos, j’ai été contacté pour un sondage concernant mes volontés d’achat dans un magasin à réduction de bas produits à faible coût mais fort bénéfice en masse d’achat.

La volonté dirigée était de savoir si j’étais capable d’opter pour un abonnement sur des produits permettant une connectivité des produits autrement achetés dans le magasin de mon quartier d’agglomération.

A cette première , j’ai indiqué qu’il n’en était pas question.

Peu importe, la conseillère me suivant bien mieux que l’absente de pôle emploi, continue son questionnaire sur l’intérêt de tel ou tel machin chose dont une gratuité d’un mois sur un système que ne veut pas souffrir…

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