Communication

Plus on en parle moins on le fait bien.

Et malgré la horde de professionnels, les formations tout azimuts, force est de constater les dérapages communicants.

C’est notre impérieux qui a lâché le morceau en pérorant à tout va son non parler peuple de petite bourgade de quartier non huppé.

Il a d’ailleurs changé fissa, tellement il a l’intelligence vive, de chargé éponyme pour le remplacer par un grand professionnel journaliste de son état.

Ce qui nous a valu la trouvaille du Père Noël dont il savait bien qu’il n’était pas puisque ce dernier est encore en hibernation en octobre.

Ou encore cette méchanceté gratuite signifiant qu’il ne parlerait pas aux méchants qui ont eu l’audace de l’apostropher vigoureusement sans même lui faire le baise-main réconciliateur.

La communication a même été jusqu’à leur rappelé que bien qu’éloigné de la métropole sur un autre continent, ces gens là n’en faisaient pas moins partie d’un département comme les autres.

Et pourquoi irait-il donc, un jour comme cela à la demande, communiquer directement avec les groupuscules de la métropole, qu’ils soient bretons, savoyards, alsaciens, catalans de France et de Navarre.

Circulez, adresser vos condoléances gentiment par courrier, peut-être que votre chef aura l’avantage d’être aussi bien entendu que ce jeune génie ayant obtenu, grâce à la voie postale, son stage élyséen.

C’est tout de même plus enrichissant de s’occuper de la jeunesse méritante, surtout lorsque l’on est sans enfant, que d’adultes vieillissants utilisant des méthodes éprouvés qui n’ont rien à voir avec la politique autrement de crève en marche.

C’est ce qu’on bien compris la garde rapprochée de l’impérieux, les camionneurs ou dockers par du tout énervés contre la présence royale de celui qui veut repasser le pont d’Arcole.

Mais avouez que c’est un vrai grand malade, cet impérieux, peut-être frappé d’Alzheimer, ne se souvient même pas qu’il est le président des seuls riches de France, qu’il a bien connu dans sa banque native, et qu’il leur a fait cadeau de quelques milliards d’euros par an sans aucune contrepartie.

Alors faire comprendre, après cela, que l’on ne peut donner plus mais au contraire en enlever plus à ceux qui n’ont pas grand chose ou leur promettre larmes et sueurs dans des mines d’antan…

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