Comme une idée

C’est entendu, il nous faut avoir des riches. Ainsi, nous savons à quelle mesure nous sommes pauvres.

Mais, trop c’est trop.

Et, si en plus, l’on met une réforme sans queue ni tête, cela fait vite tourner le sang.

La palme du jour d’hier, est remise à un grand patron qui l’a bien mérité.

Il dit qu’il est pour et les vieux n’ont pas de mouron à se faire puisqu’ils seront forcément conservés plus longtemps chez leur gentil patron.

Ainsi, cette réforme des retraites a des effets inattendus : celui, entre autres, de rendre la valeur du vieillard de 55 ans moins denrée périssable à jeter aux oubliettes de Pôle emploi.

Juré, promis, craché, ce qui était cher hier, le sera nettement moins demain ; sans doute la faute à l’inflation ? Ceci dit, personnellement, une réforme qu’elle est bonne est celle qui permettrait à chacun(e) de prendre sa retraite à l’âge qu’il désire se retirer.

Pourquoi n’y aurait-il pas des vieux pouvant continuer à faire jeune travailleur mais expérimenté et des vieux pressés de vivre sans contrainte leurs quelques années à passer dans la quiétude.

Il suffirait de partir du principe qu’il faudrait Xx années de cotisations pour dire au revoir au monde du travail.

Mais, le cumul pension-emploi serait autorisé afin de faire connaître à l’impétrant le bien fondé de telle ou telle position.

Ce principe acquis, il conviendra de veiller aux catastrophes collatérales.

Une mère de ses enfants devraient avoir un gain automatique de cotisations annuelles tellement elle fait du bien à la patrie reconnaissante.

Si le conjoint y participe activement, il pourrait en profiter à la hauteur de son effort.

Pour éviter un manque évident de cotisations devant le nombre baissant de cotisants, le Smic et autres salaires alentours devraient prendre automatiquement un point de plus que l’inflation subie.

Mais, les heureux retraités seraient mis à contribution pour aider à l’effort national du grand combat de la dépendance.

Après tout, ils sont directement les premiers concernés.

Les années d’études après le bac seraient considérées travaillées surtout si les enfants adultes travaillent pour leurs études.

Aucune prime de devrait sortir de l’aide des cotisations sociales…

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