L’Australie, une ile, à la fois Etat et continent est relativement peu peuplée, mais très florissante, elle est recouverte d’immenses forêts dont 10 millions d’hectares ont brûlés, hébergeant une flore et une faune représentant une biodiversité inconnue ailleurs, qui a été la proie des flammes et dont il reste maintenant à dresser l’inventaire et a voire comment réparer les dégâts.
Les fortes précipitations de ces derniers jours, les plus importantes dit-on, de ces dernières trente années ont permis d’éteindre et de maîtriser les incendies, échappés à tout contrôle
La richesse de l’Australie sont ses immenses gisements de charbon, qui alimentent ses centrales thermiques. Charbon, qu’elle exporte en profitant d’une demande croissante des pays en développement.
L’Australie est classé parmi les premiers pays émetteurs de gaz à effet de serre, par tête d’habitant bien entendu et sa population reproche à son gouvernement central son inaction face à cette situation, alors que le pays connait des pics de chaleur inconnus en Europe.
La population des régions sinistrées a connue des situations dramatiques extrêmes, des milliers de personnes évacues, 33 personnes tuées, principalement des pompiers et des sauveteurs, 2 500 des habitations sinistrées et on cite le chiffre incroyable pour nous, d’environ un milliards d’animaux sauvages, hôtes des forets sinistrés péri, par le feu, impossible à remplacer, avant, si possible, des décennies.
Pour le moment , il faudra laisser faire la nature, les fortes renaissent de leurs cendres, seulement il faut les canaliser, comme cela a été fait , en son temps , de les forêts des Landes, zones coupe feu, passages pour les pompiers détection permanente de toute naissance d’incendie et pompiers prédisposés en cas de nécessite .
Avec le changement climatique , les risque d’incendie ne peuvent que s’aggraver.
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