J’adore visualiser la 4ème de couverture en fin de lecture, voire au milieu de temps en temps, pour savoir si le lecteur n’a pas été baladé.
En faisant cela avec le livre que j’ai en mains, j’ai un peu comme un vertige.
Sur l’étiquette de prix est indiqué : éditeur 8,95€.
Jusque là tout est normal et prouve que même lire un bon ouvrage est accessible à la plupart d’entre nous.
Mais là où le bat blesse vraiment, c’est un grand de la distribution physique qui se plaît de vendre de tout et de rien en complicité d’internet et d’ailleurs, indique, lui et pour lui : pris – marque du distributeur – 8,50€.
Oui, d’accord, la différence est faible.
Et l’on ne va faire tout un fromage sur 40 cts d’euro.
Sauf que la crainte est que ce soit l’auteur qui trinque et doit mariner avec toute cette tambouille.
J’étais tranquille, j’étais peinard, dans les dunes sans bar ni humain.
La terre m’appartenait, j’étais bien.
Tout d’un coup sorti de nul part, un reste d’humain.
Pitoyable, un masque dégradable dans 160 ans perchés bas dans la nature qui se croyait sauvage.
Bien sur, l’on pourrait toujours dire que c’est un enfant qui a laissé ici bas ce bienfaiteur de l’humanité.
Peut-être a-t-il même entendu qu’en plein extérieur il ne servait à rien.
Mais vu le nombre épars dans les rues et ruelles des villes et villages, il faudrait bien que les parents revoient leur manière d’éducation.
Une agglomération de treize villes plus ou moins importante veut imposer aux autres la généralisation du port du masque obligatoire.
Et en plus son maire se dit de gauche.
Copain comme cochon, ces politiques ne ratent pas une occasion pour imposer leur diktat.
Et peu importe si le virus ne se propage pas à l’extérieur.
C’est comme leur seigneur il suffit d’y croire pour le marteler aux autres.
J’oubliais, la ville c’est Cergy-Pontoise, son maire Jandon…