Choisis ton toit

A défaut d’agir correctement sur le climat qui ne va pas, notre beau ministre de l’écologie entend dire ce qu’il faut faire aux gens qui n’en veulent pas.

Il déclare de derrière son bureau assis, que le temps des manifestations est fini et qu’il faut agir pour l’écologie.

Ceux qui l’ont devancé dans ce beau principe déclaré, se sont faits gazés, il n’y a pas d’autres mots messieurs les bien-pensants du politiquement correct.

C’est bien de vouloir enlever énergétiquement les plantes folles qui ne sont pas belles dans le paysage.

L’on parle du chômage, qu’il y aurait trop de chômeurs, que ces derniers ne chercheraient pas vraiment de se faire embaucher.

Mais, que dire de ces élus européens qui n’arrivent pas à se mettre d’accord sur les personnes qui devraient remplir les postes désormais vacants alors qu’il y a autant de candidats avides de les pourvoir ? Non seulement les employeurs peuvent licencier comme ils l’entendent sans grand souci si ce n’est de provisionner les montants fixés ; mais encore, ils font la chochotte lorsqu’il s’agit de nouvelles embauches.

Les comiques sont toujours en place pour répéter l’intérêt d’une Europe dont les membres ne sont même pas capables de s’entendre, cela fait déjà huit jours de discordes, pour la désignation de leurs responsables.

L’on comprend mieux, maintenant et pour toujours, pourquoi il ne ressort rien de vraiment bon dans ces discussions populistes de trottoirs ou de comptoirs mal famés.

Allez les gars, vu que la soupe semble bien bonne, je vous laisse un indice : nommez-moi et vous verrez que vous ne le regrettez pas.

Personne ne me connaît c’est justement là l’intérêt.

Ainsi, les mouvements de couloirs, les bruissements de palais pourront continuer, s’amplifier sans vraiment m’émouvoir car Kafka a été longtemps l’auteur de mes cauchemars de manager organisateur…

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