Au jour d’aujourd’hui, n’en déplaise à certaines mauvaises plumes au chaud dans leur demeure ouatée, des gens tous les jours risquent leur peau.
Et, pourtant on n’en parle pas.
Ce n’est pas vendeur.
Juste un article dans un quotidien régional.
Et, pourtant, le début sécuritaire qui plaît tant aux extrêmes de la droite passe par là : avoir un logis sécuritaire.
Or, malgré les protestations, les alertes, rien n’y fait, ce bailleur social au su et connu de tous, fait la sourde oreille.
Sa tour de 11 étages part littéralement en lambeaux.
Dernièrement, un panneau entier s’est détaché pour aller s’écraser au sol.
C’est certainement miracle s’il n’y a pas eu de blessés voire de morts.
Le lieu de l’impact étant autrement fréquenté puisqu’il se trouve tout juste devant le hall d’entrée de cette tour infernale.
Pour toute excuse, le bailleur affirme qu’il prévoit sa démolition en 2024/2025.
Admirez la précision.
Et en attendant, on fait quoi ? Doit-on l’obliger à commander les corbillards ou l’obliger à trouver d’urgence préventive des logements décents pour les habitants vivants encore dans ces gravats ? C’est avec raison que la maire de l’endroit a exigé l’application fissa de la deuxième mesure.
Espérons qu’elle sera suivi d’effets bénéfiques pour ces personnes qui se déclarent : « Nous sommes des être humains nous aussi ».
Mais il n’est pas rentable, ou plutôt bienfaisant de faire ses titres d’Une dont les victimes quotidiennes ne peuvent se entendre.
Peut-être un petit espoir en forme de porte ouverte puisque nous sommes dans un long temps d’élection.
Sauf bien entendu, si les élus préfèrent mettent en avant leur soi-disant besoin de caméras à surveillance générale ou autres petits plaisirs à satisfaire leur ego dominateur… Mais l’on préfère laisser parler certains extrêmes qui hurlent aux loups mais refusent de voter des lois luttant contre.
Évidemment, pas folle, la cheffe parricide de l’extrême droite, aimant les chats et les jeunes bobos mais pas les immigrés, se garde bien assainir ce qui fait son lit du mal.
