Chères générations

C’est à la mode d’opposer un groupe de citoyens français contre un autre comme aime le faire le gouvernement ou parfois l’extrême copiée en cela par la droite extrême quand il s’agit de pauvres gens partis chercher meilleur toit que chez eux.

Il est de coutume que les enfants s’opposent aux parents sous l’explication banale de certains psy qui font leur beurre de crier à tout va : conflit de générations.

A remarquer que ces derniers, mais je ne les attaquerai pas, parle parle des autres tout en ayant bien souvent incompréhension de leur progéniture.

Mais ne dit-on pas cordonnier le plus mal chaussé même s’il l’un est manuel et l’autre d’ordre moral.

Mais rien ne fait à l’affaire comme le chantait un ancien disparu barbu, tous ces fouteurs de troubles ne sont pas qu’à foutre le bordel ; ce n’est plus un gros mot, voire une insulte, depuis que notre impérieux l’a mis à la mode du temps.

Classe de riches contre classe de moins riches, classe de moins riches contre contre classe moyenne – dont on n’ait plus sur qu’elle existe encore tant on lui tape dessus – classe moyenne contre classe perdante, classe perdante contre classe de pauvres et l’on pourrait continuer ainsi longtemps tant on se nourrit du désespoir de l’autre en dessous et de l’espoir d’être celui du dessus.

A propos, il y a aura également, sans doute, peut-être, au moins velléités de faire de même avec les voitures de luxe : certaines devraient rentrer dans l’Isf ou être autrement taxées, on ne sait plus, d’autres pas.

Et bien entendu, ce qui revient comme un marronnier, nous sommes bien en automne, c’est l’opposition des enfants, petits et grands, des adultes contre leurs vieux de retraités qui seraient les heureux veinards de cette farce et attrape.

Mais, le plus drôle c’est la compréhension des serviles de la communication qui au nom du capitalisme bien compris, réuni les deux sous la forme de bâti pour étudiants afin de préparer sereinement sa retraite ou, mieux encore, profitez des besoins en immobilier pour retraités pour les mêmes besoins futurs.

La boucle est bouclée et la politique continue de faire fortune autrement qu’elle ne le dit…

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