Mais, si les uns votent pour la gauche, les autres votent pour la droite.
Or, chacun sait que la droite est pour la réussite sociale d’un sur l’autre, alors que ceux qui sont de gauche voit plutôt l’espoir dans le collectif.
Autrement dit, ceux qui se méfient de l’autre, et peut-être de leur reflet dans ce miroir où ils se voient moins beaux, iront du côté de l’extrême droite.
Ceux qui croit à l’autre à son prochain sans être forcément catho, iront sur les chemins des penseurs de gauche.
Et qui a dit que la politique n’était pas binaire ?? C’est dans l’éducation nationale que la fronde est supérieure.
Mais, en fait, c’est normal, les instits sont allés à bonne école : ils savent compter eux… Bizarrement, sans faire mine de le dire, leurs visages en air de papier à mâcher, sembleraient vouloir annoncer un recul qui ne leur reviennent pas à la mode d’un boomerang, devant l’ampleur d’un tel mouvement.
Il y en a même qui se paie le culot d’annoncer que les syndicats sont morts tout en se réjouissant du nombre de gens ayant répondu à l’appel syndical.
Mais, il faut être bougrement d’extrême droite pour dire autant d’ anneries.
Vous le savez bien, l’administration qui n’est jamais à l’abri d’un train en retard, a fait le forcing pour dématérialiser ce qu’elle nomme ses services qui se transforment le plus souvent en obligations.
Ainsi, via votre console numérique, vous pouvez sans coup férir payer rubis sur l’ongle vos impôts.
Vous pouvez sauf si vous n’avez pas cet outil devenu magique l’Internet.
Aussi, beaucoup de nos anciens, qui ne sont pas pour autant obsolètes, font mine grise au moment fatidique ; d’autant plus que les chèques envoyés sont purement et simplement refusés.
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