Chassés, croisés

La canicule arrive d’une hausse du barème de l’indice des prix que l’on n’avait pas vu depuis longtemps.

Sympa la politique autrement de nous faire (re)découvrir les délices d’antan.

Ainsi donc, il y avait un commencement de privilèges pour les vrais plus riches en leur favorisant une hausse de leurs revenus à hauteur de e qu’ils sont : 500 000€/an en moyenne.

Évidemment, plus l’on est riche, plus sa fortune est grosse, plus l’on gagne au loto gouvernemental.

On ne va pas se mettre à dos les puissants garants de la reconversion politique lorsque l’illuminé et son premier non élu seront renvoyés dans la douceur de leur foyer.

L’histoire nous dira s’ils finissent ensemble, ou pas.

Puis, la suite d’une vraie politique nouvelle a été de donner moins aux plus démunis, cela a permis de prouver que c’était possible de faire n’importe quoi puisque l’on est intouchable et surtout de montrer aux bons à rien que c’était désormais fini la rente à gogos.

Mais, il y avait, dans les profondeurs des masses populaires, qui eux, sans travailler et fort légalement, se permettaient de toucher une rente à vie dont la non adaptation au cours de la vie ne suffisait pas pour plaire à ces messieurs dames de la haute.

Il y avait du grain à moudre et l’excédent leur a été pris.

La preuve qu’ils avaient raison, c’est que l’on n’a pas eu plus de suicides qu’avant dans les rangs.

Et cette politique devait être gagnante puisqu’elle a permis une très nette augmentation des salaires nets du fait d’une très grande diminution des charges salariales suivant de prés celles des charges patronales.

Toute cette politique argentière de chasse au trésor devait se terminer par l’artifice d’un ruissellement des fortunes aisées donnant le reste à vivre à la peuplade en délire d’attente du geste auguste.

Ils ont droit à une inflation remontant la pente mieux mieux que la maillot à poix et ruinant leurs revenus aussi modestes soient-ils…

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