Chacun devra ce qu’il doit

C’est notre illuminé qui est ravi de l’élection d’un confrère en Outre Atlantique. Pensez les deux premières dames de ces pays sont toutes deux enseignantes.

Elles vont avoir des choses à se dire.

La notre va pouvoir se rappeler d’avant lorsqu’elle devait s’occuper de la petite adolescence.

Ravi d’entendre le combat de ceux qui se disent aujourd’hui général alors qu’il l’avait renié auparavant, notamment en ce qui concerne l’élection du Président au suffrage universel.

Mais, les procès d’intention fait par ceux qui s’en réclamant à juste titre nous en dit long sur un héritage qui devrait être à la France sans être déchiré par intérêt ou sensibilité de chacun.

Ainsi la question reste posée : aurait-il admis l’Europe ? Personne ne le sait, alors laissez-le à Colombey ! Une question que je m’interroge.

Les Outre Manche ont fait leur Brexit.

Pourtant les restants à la Cee restreinte continue d’utiliser la langue anglo-saxonne en rejetant la française.

Cela veut-il dire que les excellences en anglo-saxon ne veulent pas retourner en formation pour se rappeler que le français fait partie de la construction de cette union ? Avez-vous remarqué que sur votre route qu’il y a de moins en moins de commerces acceptant vos beaux chèques ? Pourtant, cela faisait classe, au moment de régler votre dû, la sortie de votre bel étui tout en cuir dont vous aviez le stylo assorti à moins qu’il ne soit de haute montagne.

Les commerçants d’un côté s’époumonent à crier au scandale des frais pris sur leur chiffre d’affaires pour leur amis banquier qui ne cesse de leur vouloir du bien.

De l’autre pestent contre les faux billets en n’acceptant plus aucun.

Alors que reste-t-il à part les chèques restaurants au lieu de la cantine, qui ne seront payés qu’à la saint glinglin ? La carte bancaire bien sûr si chère pour les commerces et pour le banquier mais pas forcément pour les mêmes raisons.

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