C’était un mec, une bande de jeunes

Le mec du Figaro qui passait par là, disait à qui voulait l’entendre que la loi c’est la loi.

Et qu’il fallait qu’elle s’applique partout y compris dans les quartiers dits défavorisés.

Ben oui il a raison, ben oui, tout le monde le sait qu’il y a trafics de drogues hors la loi et que la loi interdit de les dissoudre en rendant légale une consommation qui serait moins dangereuse que l’alcool ou le tabac eux agréés.

En tout cas, ce n’est pas Roméo et Juliette puisque, seule, elle est morte oubliant au passage la parité.

Les bonnes mœurs font semblant de découvrir le phénomène des bandes.

Mais la guerre des boutons ne date pas d’aujourd’hui.

Et s’il n’y plus de boutons, sauf sur le visage de certains, c’est que l’on a cru éteindre le feu bouillant des jeunes, voire très jeunes, en se contentant de les couper purement et simplement.

Fallait pas oublier sur place les couteaux qui ont servi.

Et puis, où sont passés ces gardiens de square, ces policiers îlotiers ou ses éducateurs que l’on écartaient des quartiers pour qu’ils ne fassent pas connaissance de confiance.

Et pour ne pas perdre le Nord sur la covid-19, voilà un nouveau variant dit écossais, sans doute parce qu’il est servi en kit.

Dans ces conditions de nos connaissances, il aurait pu être d’un autre pays du Nord froid.

Ce qui sans doute va encore faire diminuer la moyenne d’âge des malades à gros problème embarqués dans le système hospitalier.

Prouvant une fois de plus, que la génération des plus âgés n’est pas forcément aussi égoïste que l’on veut bien le dire.

Il paraît que c’est un phénomène nouveau.

Alors, on obtient de plus en plus de reportages faisant voir les affrontements entre bandes de jeunes.

Et c’est sans doute pour cela que l’on ne trouve que maintenant des blessés voire des morts à gogos qu’il n’y avait pas ; ha Bon ??

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