C’est une histoire de compte

3 millions 5, soit 3 500 000 ou 5% de la population totale que comprend l’entreprise non multinationale France enfants de bas-âge et vrais incapables de tout bord compris, hantent nos hameaux, villages, bourgs, villes, agglomérations et métropoles à persister ne pas vouloir ni entendre ni comprendre, à défaut d’écouter, la parole divine de l’illuminé qui sait tout comme l’auto-cuiseur de feu mamie.

Vous l’aurez, vous, compris que la référence n’est pas l’ami déjà ancien proche qui s’est fait prendre les doigts dans la confiture du pouvoir, mais bien de ces incapables ayant l’audace d’interpeller l’illuminé illustre qui a d’autres chats fouetter depuis que l’ancienne Marianne ait venu défendre leur cause ; des derniers, surtout pas des premiers.

Ainsi, donc, il y aurait sur notre beau territoire relancé 3 million 5 d’emplois non pourvus et l’on voudrait que soit accepté cette situation qui empêche notre si beau pays de France d’atteindre le % de relance super bien calculé par les initiés tout en haut de l’échelle du savoir.

L’on comprend mieux pourquoi, faute de mieux, les patrons petits et grands se sentent-ils obligés d’embaucher des clandestins au noir.

Ce n’est pas pour s’éviter de remplir des tas de papier administratif, cela est laissé à l’appréciation d’un ancien ministre qui en avait la phobie et malheureusement cela s’est su.

C’est pour que les bénéfices ne partent pas à la dérive négative à la seule cause de malandrins chagrins.

En général, c’est du moins ce qui se dit tout haut dans les grandes bonnes écoles qu’elles sont chères, une fusion c’est pour faire des gains.

Nos complémentaires n’ayant rien compris vont décider d’augmenter leurs coûts et de baisser ce qu’elles devront reverser.

A moins qu’elles n’ont compris ce qui se dit tout bas dans les premiers rangs des riches écoles : 1 + 1 = 1,8….

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