C’est tout bénéfice

Certes, c’est dégueulasse ces quelques 150 kg identifiées de viandes avariées de vaches malades en amont d’un abattoir qui n’a rien voulu savoir faute de vétérinaires dûment mandatés pour éviter ces gênes épidémiques.

Mais c’est comme pour les contrôles financiers ou du respect du code du travail, si le gouvernement supprime les postes correspondant, rien de bon n’en ressort.

En France, l’on préfère les armes de guerre j’te prends un œil contestataire, j’te perce une joue de gamin tendre puisqu’il y a raison d’État à protéger les plus forts en capitaux.

Et ailleurs, c’est itou pareil de publicités sentant mauvais la bonne aubaine d’un placement vanté à 8 % dans un encart pour se transformer en 6 % une fois le clic effectué.

Cher le clic de souris, pire que le prélèvement des impôts à la source.

Pourtant sur la page d’accueil n’informant pas sur l’entreprise proposant ses services donnés, les témoignages abondent jusqu’à un rendement de 13 %… Passez votre chemin, c’est préférable pour votre bonne santé financière et morale.

Le plus énervant est de savoir que si vous savez, les services de contrôle qui n’ont pas besoin d’être vétérinaires peuvent être au même niveau.

Mais voilà, cette pub trompeuse d’un rouge se voulant prouver l’agressivité des marchés boursiers financiers où le plus faible paye pour le plus riche, la vie capitalistique quoi, émane des colonnes figurant sur des plates formes de jeux dont la gratuité se règle cash si l’on n’y prend garde.

Mais, le vrai souci, c’est que le maître à jouer est un grand Gafa où l’on ne cesse de leur dérouler le tapis rouge pour qu’elle accepte volontairement de payer en France 5 % de ses bénéfices au lieu des 25 % prit sur le dos des petits artisans, commerçants, Tpe et Pme.

Les grosses boîtes s’en fichent puisqu’elles trouvent toujours le moyen de passer outre.

Quitter la version mobile