C’est selon le bon vouloir…
De l’avis d’un connaisseur, le dernier vote demandé aux salariés, fonctionnaires ou non, cheminots ou non, n’est pas valide car il s’agirait plutôt d’une forme de pétition.
Aucune valeur donc pour ce grand patron du rail qui ferraille comme il le peut.
Dans un très court passé presque présent, d’autres salariés avaient voté contre le sort que leur patron avait décidé de leur réserver.
Cette votation, comme le diraient, nos petits amis suisses, avait alors été considéré par tous comme valide qu’il fallait respecter.
La différence réside entre les deux que l’un a été décidé et organisé par le patron lui-même, l’autre non seulement par des organisations qui pensaient réel le contre pouvoir salarial.
La Cee estime que la France a fait des efforts et lève le voile d’une procédure à son encontre d’un déficit en baisse qui ne doit rien au gouvernement actuel.
Mais pour éviter que les français du bas de l’échelle en profite, notre cour des comptes qui contrôle l’ensemble des comptes de la nation et espère plus, sans que les siens soient contestés, estime qu’il faut encore et toujours faire des efforts chez les autres.
Mais, elle ne parle pas de le faire dans les 140 milliards touchés par le patronat en aide de tout genre pour que leurs entreprises privées soient maintenues juste à flot comme il le faut pour que les actionnaires aient de bons dividendes.
En Irlande, les femmes n’ont toujours pas le droit de leur corps.
Un référendum va avoir lieu, espérons que les pour l’emporteront d’autant plus que cela n’enlèvera strictement à celles qui s’y refusent.
Mais cette question en pose une autre partout ailleurs.
Pourquoi des individus veulent empêcher d’autres de décider ce qu’ils doivent faire pour eux à l’âge adulte.
De quel droit ces premiers se donnent la possibilité de juger pour les autres leur façon de vivre.
Cela pourrait être à peu près compris dans des états religieux, mais dans le laïc, cela est parfaitement inadmissible.
Toute personne devrait avoir le droit de faire ce qu’il veut faire dès lors qu’il n’entraîne pas de vrais préjudicie à l’autre.