Le gouvernement l’a décidé. Il veut une campagne de vaccination au pas de la charge, seringue au canon.
Fi du retard apporté, la troupe doit suivre.
Et pas question d’appel aux taxis de la Marne qui rappellerait trop de mauvais souvenirs.
Les troupes affidées du parlement s’empressent de vouloir faire passer une loi d’urgence pour obliger les soignant(e)s récalcitrant(e)s de se faire vacciner.
En effet si le citoyen est libre en République, le salarié reste le vassal du patron lorsqu’il en le salarié.
Et, en qualité d’administration publique, cela devient pire puisque les exigences proviennent d’élu(e)s marqué(e)s par la volonté farouche de rien voir, ne rien savoir et ne rien entendre, sauf par la force… Mais le gouvernement veut jouer dans l’éthique.
Ainsi, il va, à coup sur, faciliter le départ de ces personnes vers le privé où paradoxalement elles risquent d’être mieux traitées et surtout considérées.
L’on s’étonne d’une certaine baisse du prix de l’immobilier.
Et cela se fait alors que les agences immobilières étaient fermées forcées administrativement.
N’y voyez pas là un lien de cause à effet.
Promis presque craché sans souiller le sol grâce au masque porté selon les règles sanitaires imposées, l’ouverture de la sortie serait à venir en mi avril, à suivre… Mais, pour ne pas vous perdre en chemin, vous serez guidé par vote livret sanitaire qui vous indiquera où aller et où vous abstenir selon votre état du jour.
Ainsi, par exemple, si vous satisfaisait aux bons vouloirs gouvernementaux, vous mangerez et pourrez aller aux jeux du cirque à discrétion.
Sinon, vous êtes bon pour être désigné rebus de la société dans votre propre pays.
Mais, attention, si vous voulez aller ailleurs que dans votre beau pays un peu moins libre que dans votre passé, il vous faudra vous munir d’un passeport vaccinal ou autre machin qui vous ouvrira les portes du paradis du tourisme à forte consommation.
Va falloir garnir vos portefeuilles, ce sont les maroquiniers, non essentiels, qui vont être ravis de l’aubaine !