Non pas la crainte du grand remplacement comme veut le faire savoir dans la peur les gens de l’extrême droite, mais, celle d’une perte en compétitivité par manque de bras vaillants.
Mais, une tache supplémentaire s’ajoute à ce sombre tableau – à propos, avez-vous remarqué que ces gens d’extrême droite ont remplacé leur chemises brunes par des blanches faisant croire ainsi qu’ils lavent plus que blanc ? Espérons qu’ils en deviennent transparents.
En effet, les ménages qui veulent devenir propriétaire de leur bien immeuble, auront plus de chance s’ils n’ont pas d’enfant.
De toutes façons, il vaut mieux d’abord avoir un toit pour faire jour à un autre toi.
Il est clair que c’est certain qu’aujourd’hui un NON est un non et ne veut pas dire peut-être ou oui vas-y d’hier.
Justement, hier, ce n’est pas aujourd’hui et les meurs étaient, certainement mille fois hélas, autres.
Il en était ainsi qu’une femme ayant eu promotion était forcément passée sur le canapé de celui qui lui avait donnée ; et même certaines disaient qu’il en était ainsi et que c’était bien normal.
Heureusement, dans notre présent, ce n’est plus ainsi et les comportements obligataires ne sont plus normaux.
Autant, si la femme mouille, ce n’est pas vraiment la garantie de son consentement, autant peut-on se demander si la femme se pose question du Oui de l’homme ou se contente-t-elle du simple fait physique de l’érection de celui qui veut son partenaire ? Il y a là une recherche d’équité, pour ne pas dire d’égalité dont on n’est pas certain qu’elle soit la volonté de tout le monde, et certainement pas de ceux et celles qui crient le plus fortement.
Peut-être apprendre que la pulsion se gouverne comme le fait qu’il n’est pas obligatoire que deux personnes de sexe différent ou non dorment ensemble et soient obliger de coucher ensemble…
