C’est parti pour 1 mois, jusqu’au 31 janvier

2016À l’instant où je me mets devant mon clavier pour écrire c’est quelques lignes, nous sommes les 1er janvier 2016.

Le début de l’année est un moment où l’on prend de bonnes résolutions, que l’on ne tiendra pas… naturellement.

Mais, c’est également, le début des vœux pour la nouvelle année et par tradition, nous pouvons (et certains pourraient dire « nous devon ») souhaiter nos vœux jusqu’à la fin du mois de janvier.

D’ailleurs, dans les courriels, nombre d’expéditeurs modifient leur signature automatique pour y ajouter un « bonne année », « meilleurs vœux » ou même une illustration carte de vœux.

Il y a plusieurs natures de vœux.

Les femmes et les hommes publics, qui vont présenter leurs vœux à tout le monde, dans une forme adaptée à l’image qu’ils veulent projeter. En France, le premier à présenter ses vœux, est le président de la République. D’ailleurs, hier François Hollande fut parfaitement dans ses marques et dans ses habits de président paternalistes qu’il a endossé à la suite des attentats qui ont endeuillé la France, l’an dernier.

Est-ce que les vœux de ces personnages publics sont sincères ? Je vous laisse le soin d’en juger. Mais, on ne trouverait pas normal qu’ils ne nous souhaitent rien.

Il y a les vœux que l’on présente à ses proches, le noyau familial, quelques amis. Que l’on va peut-être appeler à Minuit, où de toutes les manières dès le lendemain. Ce sont des vœux sincères, mais pas indispensable, ce sentiment qui lie les proches existe en permanence, et pas seulement le 1er janvier. Mais, bon, il est agréable, une fois de plus de dire à ses proches « je pense à toi ».

Il y a les vœux que l’on va présenter à ses voisins, ses copains, ses collègues, les commerçants que l’on fréquente régulièrement. Il serait de mauvais ton, surtout dans les premiers jours de janvier, de pas lancer un « bonne année » en commençant une conversion, même avec des gens que l’on ne connaît que de vue et que l’on croise tous les « 36 du mois ».

Tout cela va durer jusqu’à la fin du mois de janvier, c’est une tradition.

Est-ce une tradition inutile, je ne le crois pas. Cela permet, dans ce monde qui est de plus en plus individualiste de créer, ne serait-ce qu’un instant, un peu d’humanité. Dire simplement à quelqu’un « je vous souhaite une bonne année », même si on ne le connaît que de vue et que l’on a prononcé ces quelques mots machinalement, c’est gentil.

On a, ne serait-ce qu’une fraction de seconde, penser à l’autre qui est en face de nous.

Pour 2016, j’espère qu’ici en France et partout dans le monde que les gens deviennent moins agressif. Que ces guerres, inutiles, cessent. Que ceux qui tuent au nom de Dieu comprennent qu’ils font fausse route et que jamais Dieu (s’il existe) pourrait pousser à une chose pareille.

Il ne faut pas oublier le climat qui devient fou, il paraît qu’il a fait 0 degré au Pôle Nord, alors qu’il devait faire -20. Il va tenter de limiter la hausse de la température moyenne à +1,5 degré (comme prévu dans les accords conclus à l’issu de la COP 21), mais il va falloir nous adapter à ces évolutions climatiques.

Enfin, vous qui êtes en train de terminer de lire ces quelques lignes, et que je ne connais pas (c’est le côté positif et en même temps négatif d’internet) : je vous souhaite une bonne année 2016, en premier la santé, sans elle rien n’est possible, le bonheur, l’amour et l’amitié, mais aussi la prospérité.

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