C’est la fête

Pas gêné celui qui se prend pour tsar d’un empire perdu qu’il veut reconquérir par la force sauvage du passé.

Non seulement il part en guerre sur le seul prétexte de son propre mensonge d’un éventuel  encerclement d’éventuels adversaires guerriers qui éventuellement voudraient lui faire la peau.

Mais encore met-il en avant quels caractères caricaturaux d’un passé bien lointain pour ceux qu’il a tout seul désigné comme ennemi.

Alors, à la faveur d’un enfumage, il réussit à envahir une partie du paysage d’un de ses voisins.

Il pense pouvoir pousser son avantage puisqu’il n’y a eu aucune réelle réaction des autres pays.

Mais, cette fois ci trop, c’est trop, les peuples ennemis se rallient contre lui représentant la pire des sauvageries.

Et, devant une résilience à ce jour à tout épreuve d’un peuple guidé par un personnage qui joue dans le film de sa vie, le tsar a l’impression funeste qu’il déchoit de plus en plus.

Alors il décide, comme toujours, seul d’une trêve d’une religion trop politique pour être vraiment honnête.

La morale de cette histoire prouve, à l’heur actuelle, que l’enfermement, la solitude ne peut qu’être néfaste pour un peuple.

Seuls la rencontre, le mélange, le partage peuvent donner un espoir d’avenir rayonnant.

Que les peuples de tout pays le comprennent et chassent à jamais leurs idées noires suicidaires.

Cela aura au moins permis l’excuse pour les pays d’Europe et d’ailleurs le nécessaire, disent-il, réarmement guerrier de leur pays.

Plus de 2 000 Milliards d’euros dépensés en 2022, budget qui va encore gonfler en 2023, permet à des militaires en berne de rebomber leur torse en donnant de l’importance visible à leur carrière.

Jamais, les étas n’avaient pensé à utiliser cette manne pour lutter contre la pauvreté, les inégalités, le respect de Dame nature.

En ces fêtes de nouvel an, il faut que tout explose !

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