Pourtant son nom devait le prédestiné à un glorieux destin tout d’abord.
Mais, star sur Terre, il se croyait éternel dans le firmament.
En définitive, s’il y a du sacré en lui, on ne retiendra que le monstre.
Monstre d’égoïsme, mais qui ne l’est pas ? Surtout avec une telle aura où tout le monde se poussait pour lui amener son fauteuil roulant, tellement il n’en pouvait.
Actuellement, il fait l’objet de ce qu’il prétend être une vraie cabale sur sa modeste personne.
La preuve en serait qu’il n’y aurait preuve que de propos gaulois pris au hasard de ses sorties flatteuses.
Mais, il n’y a aucune preuve d’acte(s) répréhensible(s) susceptibles de l’envoyer se faire paître.
La preuve pourrait en être ces grands, voire petits, artistes de tous bords affirmant qu’il n’est pas ce que l’on décrit de lui.
Ils l’aiment et l’on fait savoir par écrit féministes et défenseurs de l’enfance compris.
D’autres, insistent, ne comprennent pas que la vision de ce cauchemar de documentaire télévisé ne suffise pas à le bannir ; aussi croient-ils utiles de flinguer ce geste en forme pétitionnaire.
Mais, pourtant, cette missive est bien arrivée.
Mais elle a permis à certains, plutôt certaines en l’occurrence, de se réveiller, de se lever, de se mettre debout.
Oui, cet homme a fait, fait et fera s’il n’est pas arrêté quoiqu’en dise le réélu de justesse à faible majorité relative.
Il représente la France ? Plutôt ses travers comme en porc seul sait les dévoiler.
Les hommes et femmes se doivent d’être libres, de décider par eux-mêmes de ce qui est ou pas possible.
La tyrannie des petits ou grands ne doit plus être une cause d’atteinte individuelle.
Quelque soit son poste, chacun(e) a le mérite d’être.
Et, puissant ou pas, si votre sexualité débordante vous dérange, n’en faite pas profiter les autres non consentants : un non veut dire NON.
