C’est entendu

Tout d’abord d’un suivi de la coupe engageant ces dames à la recherche d’un rond en but, entendu un de ces grands professionnels de l’informations, de sport de plus, c’est dire leurs compétences indiscutables : « Ces deux équipes sont présentes pour la première fois, et aimeraient bien être qualifiées pour les ¼ de finale ».

Pourquoi pas, je ne connais aucun équipage, même féminin, ne pas vouloir désirer aller plus loin que son adversaire même si elle l’aime bien un peu, beaucoup, passionnément, pas du tout.

Mais le pompon, comme dans un tour vieux de manège en bois de votre enfance, est décroché avec une suite digne des Awards du métier :  « La qualification se fait pour les deux premières du groupe, il faudrait alors qu’elles soient, in fine, première ou deuxième derrière la France, bien entendu ». Bien sûr, par écrit cela n’a pas la même intonation qu’oralement.

Tiens un message d’une qui me demande si je me souviens d’elle ; tu penses comme j’en ai le temps ma belle.

Pas de chance : bourse vide…

Le peintre qui n’était pas du Salvador, mais seulement d’Espagne, va être remis au goût du jour au bout de trente ans depuis sa disparition mortuaire.

Espérons qu’il ne sera pas réveillé car il risquerait d’être encore plus de constater combien le monde progresse dans sa folie.

Ici, il n’est pas question de lui tâter le pouls, mais juste rechercher trace d’une certaine paternité. Et ce n’est certainement pas pour un quelconque héritage actuellement délaissé par tant d’autres.

Prise de conscience d’une jeune future mariée qui ne veut plus être dorénavant marié pour le meilleur, voire le pire, s’est dit que ce serait nettement mieux pour la morale de ne pas dilapider les victuailles prévues pour mieux les partager entre plus démunis, au lieu de celui qui aurait pu être le sien…

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