C’est dur demain

L’on pouvait penser que les horreurs de droite étaient révolue à l’histoire ancienne malodorante.

Même, s’il restait dans la scène droitière des personnes peu fréquentables mais ayant hélas bonne presse papier dans un certain populo qui n’en veut plus, mais…L’on pensait vraiment que le pire était (dé)passé, que l’on pouvait respirer à en rejeter même de vrais candidats d’une fausse gauche.

Mais, voilà le boomerang de la vie qui nous revient à brousse poils.

Au-delà de l’égérie de l’extrême droite qui avait pourtant réussi à mettre de la teinture blanche sur les vêtements sombres de ses comparses, se trouve un être humain, il faut de tout pour faire un ensemble, capable du pire dans les esprits et même dans les faits si d’aventure certains lassés le prenait au sérieux.

Il y en a au moins qui se réjouit de voir la droite entière sur tout ses bords pâlir d’un brun qui le met en situation de sauveur de la pire tâche qui soit même si l’on sait désormais que tout n’est pas à découvert.

Il y a de plus en plus de débat autour de ce phénomène s’étendant de plus en plus dans les villages, villages et champs.

Même les centres-ville des beaux quartiers sont inondés.

Mais le chef des gardes nationaux a décidé de poursuivre dans sa guerre à lui qui n’emporte des résultats que pour sa communication.

Oui, l’herbe verte est partout.

Oui, elle peut illégalement faire des ravages surtout dans les populations plus jeunes.

Pourtant, un bon moyen d’endiguer le péril serait sa légalisation.

Cela permettrait de renflouer à bon compte les finances de l’état qui ont besoin de financement, comme pour l’alcool et le tabac qui eux sont meurtriers.

Cela permettrait d’en contrôler l’écoulement pour éviter les débordements.

Cela permettrait, surtout, aux malades de soigner certains de leurs dommages collatéraux…

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