C’est dit

L’euro n’aura pas été facteur de hausse surdimensionnée par rapport aux décennies précédentes.

C’est peut-être vrai, mais malheureusement, il semble bien que les retraites n’aient même as suivi cette inflation moyenne de 1,4% relevée sur la même période.

Conclusion, depuis 2001, la vie a augmenté de 31%, pas les retraites, qui a dit qu’il y avait maintien du pouvoir d’achat de ces riches maléfiques ?

Et encore, sachant que sont écartés les impôts, cotisations et taxes inventés par l’esprit débordant d’imaginaire nous rendant cruel notre réel, ainsi que tabacs et autres babioles dont chacun sait qu’ils ne coutent rien dans le panier de la ménagère.

D’ailleurs, ladite devrait éviter de se plaindre car si son panier reste vide point d’inflation. Le dernier trimestre vécu sous l’ère d’un déjà ancien fait apparaître une baisse significative du nombre de chômeurs.

Mais, il est vrai que précédemment les hausses constatées étaient des valeureux tout d’un coup décidé de s’inscrire et de profiter de l’aubaine, un peu comme sur les listes électorales ont beaucoup ont voulu dire oust déguerpi, mais n’ont pas vraiment été entendus.

Mais il est vrai que la baisse des quelques 30 000 chômeurs en moins sont dû à des valeureux décrochant le graal d’un boulot de quelques heures en Ccd raccourci.

Et, tant pis, si in fine leur pouvoir d’achat reste misère pour acquérir un panier digne du calcul de l’inflation. Ils ne seront pas dans la moyenne nationale, et tant pis pour eux puisque l’on vous le dit.

A propos de dire, très fort l’argument d’un nommé qui pour justifier l’embauche d’un des siens en aide parlementaire – tien cela revient – a fait savoir que ce n’était pas de sa faute si dans sa si belle région qui l’avait fait être, il n’y avait que peu de personnes à rechercher capables de tenir tel poste.

Tel maître, tel élève.

À bon entendeur.

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