C’est dit, acté

Le constat semble clair : le réchauffement planétaire nous a fait savoir avec violence qu’il était présent.

Les inondations, les incendies, la sécheresse et une certaine canicule confirment les modifications du climat.

Il avait été déjà possible de repérer les bouleversements en constatant la montée des eaux de mer ravageant les côtes.

Certaines maisons, campings, devront déménager s’ils ne veulent pas être pieds sous l’eau.

La fonte des glaciers rappelle que la montagne n’est que pierres prêtes à tomber si elle n’est plus retenue.

Le problème numéro 1 est la quantité de Co2 émise.

Plus sa production est grande plus les désordres évoqués, et sans doute d’autres, seront importants.

Cela est du principalement à l’activité humaine.

Et celle-ci s’amplifiera avec la montée des naissances même si le modernisme permet une baisse sensible par femme et le besoin des peuples à plus de confort.

Mais, les pays industriels peuvent baisser la voilure.

Il faut les considérer par rapport aux pays dits pauvres comme les riches et super riches par rapport aux citoyens pauvres de leur pays.

Plus on a les moyens plus on dépense de l’énergie.

Mais, l’on a les moyens de faire pour ne pas trop s’en faire.

Sur la production d’énergie pure, il y a le nucléaire qui pourrait assez facilement répondre à nos besoins urgents.

Or les centrales existantes ont quelques difficultés à faire leur devoir.

A moyen terme, avec nettement moins de danger(s) (re)connus, l’implantation de parc éolien et panneaux solaires devraient être d’un grand secours.

Certes, seuls,, ils dépendent trop qui du vent brassant les pales, qui du soleil amenant suffisamment de luminosité.

Mais, à ce jour, les riverains ne veulent pas de ces affreux pylônes dénaturant à leur goût leur environnement.

Mais, les architectes de France, pour ne prendre qu’eux en cible, ne veulent pas l’intégration du solaire sur les toitures des sites classés.

Alors, on fait quoi ??

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