C’est maintenant prouvé sans le cacher derrière les fagots. Depuis que l’officiel est réel, à savoir parti Merkel, les langues se délient.
C’est bien l’Allemagne la plus grande pollueuse d’Europe.
Alors que la moyenne est de 8,20 %, ce pays d’Outre Rhin en est à plus de 10 %.
La France est à ce sujet bon élève avec ses 6,2 % seulement, si l’on peut dire.
Mais pas une voix qui s’élève pour chanter la marseillaise, et surtout pas sur chez les beaux verts.
En fait, à ce jour, devant l’obligation de faire face au Co2, c’est le nucléaire qu’il nous faut.
Ce qui est terrifiant chez les biens pensants, qui pour certains pensent néanmoins mal, c’est le goût unique pour leur pensée éponyme.
Il veulent être juge et partie d’une même équipe scindée en deux pour faire corps de bataille d’une guerre où ils sortiraient, eux, vainqueurs.
Prenons comme exemple, le duo de débat entre les deux grands champions (!) de l’extrême droite et extrême gauche.
Ces deux hommes ont accepté de débattre ensemble puisque personne d’autres ne veulent être de la partie.
Les biens pensants refont le coup de la mise à l’écart de l’extrême droite.
L’on voit bien aujourd’hui ce que cela donne.
Ils veulent à tout prix faire croire que ces deux-là sont bonnet blanc et blanc bonnet.
Elle voulait aller à petite vitesse et grande lenteur.
Les intentions de vote lui donnent raison en lui faisant faire une descente d’enfer dans les sondages.
Qui veut ménager sa monture, va loin ; pour qu’une voiture puisse rouler correctement dans le respect de son moteur, il faut accepter une certaine vitesse.
C’est de la mécanique tout simplement.
Marrant les pubs à l’heure de maintenant.
Pour complaire à une mode en cours sortant des profondeurs, désormais, il y a de moins en moins d’hommes intervenant pour laisser la place aux femmes.
Aucun changement social de prévu ; simplement la femme dominera l’homme et les plus faibles le resteront au profit des plus forts.