C’est de sa faute…
2 degrés en pleine plaine d’Île de France, c’est sûrement la faute d’une entente triviale entre l’illuminé de ce bord et celui non moins clown d’Outre Atlantique.
Comme le dit ma voisine, avant d’ici c’était pas mieux, au moins il était plus chaleureux que notre premier de classe qui n’a jamais pris la peine de s’asseoir prés d’un bon radiateur en fond de classe d’attente de la fin de sa classe à lui.
D’ailleurs, il prenait aux classes à venir le meilleur du passé en réinstaurant ce que l’on croyait disparu à jamais les joyeuses colonies pour nos beaux bambins tout juste sortis d’une adolescence difficile d’avenir d’être.
D’une autre arnaque, reçu d’un courriel intitulé votre compte d’épargne avec une proposition d’offre d’un compte éponyme à, tenez-vous bien, 6 % nets l’an tout ayant l’argent à disponibilité tout le temps.
Mieux qu’une assurance vie que l’on aurait souscrite il y a fort longtemps et enterrant définitivement celui que nos parents, parrains, oncles et tantes nous fournissaient quand on pouvait encore compter dessus.
Bien entendu vous devez accepter qu’un commerciale payé à la chaîne de prise de rendez-vous vous contacte pour mieux vous passer le miel d’abeilles désormais libérées par la Cee de pouvoir vivre normalement et tout son petit monde dont elle a la responsabilité la petite bête.
Nos non moins amis qui s’étaient risqués avec un certain succès à ne pas l’être, ont donné blanc seing à leur gouvernement de réintégrer l’Europe en abandonnant loin derrière eux le Brexit s’il n’obtenait pas gain de cause dans les pourparlers de négociations qui n’ont jamais été pour eux d’informations seules.
Il est étrange que des personnes comme vous et pas moi acceptent qu’un patron squizz les syndicats et autres représentants du personnel élus parce que les positions de ces derniers déplaisent au bon plan patronal mais qu’ils ne cessent de crier au déni de démocratie lorsqu’une manifestation d’opposants ose dire au gouvernement son mécontentement des votes des élus.
Selon que l’on soit de quelque part l’on est toujours plus fort que d’être d’ailleurs…