C’est à pleurer

Tout est dans tout paraît-il.

Aussi l’économiste national qui veille sur notre trésorerie se permet-il, lors d’une interview à répondre à une question concernant l’éducation nationale.

Est-ce que le bien éduqué acceptera de répondre avec économie ou fera-t-il feu de tout bois criant qu’en ce jour de rentrée l’on veut lui voler la vedette ? Tous les scolaires auront droit à leur minute de silence et la lecture d’un texte en préambule d’une obligation d’une nouvelle forme de reconnaissance de la République dans laquelle il se trouve qu’ils sont.

Certains directeurs trouvant la mesure trop violente avait imaginé épargner certains petits en les isolant.

Mais que nenni, il est dit que l’hommage est national et sera.

Ils craignent une montée chez les ados en crise des fugues en nombre.

D’autres en amont, notamment des de gauche, ont gauchement réclamé que les caricatures objets réels de tant de sollicitude soient obligatoirement exposées au vu et au su de tous.

Lorsque l’on connaît la crudité nue, voire plus, de certaines l’on comprend mieux que les directeurs de chaînes télé piaillent de pouvoir repousser au-delà ce qui est équivalent au rectangle blanc comme une marque honteuse de certains films.

Le mande est ce qu’il est, pas besoin d’en faire un film.

Pourtant, voici une décision étrange.

Alors qu’un grand épidémiologiste, je vous en ais déjà parlé, s’époumonait contre l’un de ses amis dire qu’il irait à la chasse aux papillons, puis satisfaire son droit de sortie d’1 heure, le gouvernement déroge à sa règle stricte pour laisser les chasseurs éradiquer les nuisibles.

Espérons que ces derniers ne se tromperons pas de cible.

Là aussi je vous avais déjà parlé du pantouflage qui mine les gens de pouvoir alors qu’ils en sont sortis ? Et c’était sur le ton de la galéjade car je pensais qu’ils seraient plutôt enclins à soutenir la charentaise artisanat bien de chez nous.

Et, non, perdu, ces gens là préfèrent les actionnaires prédateurs qui veulent nous imposer leur diktat et faire disparaître notre culture…

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