Celui qui perd paye

Je reçois ce matin une nouvelle d’un service de communication qui m’a rendu bien guilleret.

Une invit à un événement culturel d’un qui aurait pu être mon patron d’un grand groupe, si j’en avais accepté le principe et s’il avait tenu à l’être.

Je souriais à l‘idée de sa surprise de me voir paraître par une autre porte surtout s’il était accompagné par les sbires qui lui ont permis de faire main basse sur une belle entreprise sans coup férir.

Mais, c’est du passé, alors j’ai passé mon chemin.

De toute façon si tout se passe bien, j’irais traîner mes guenilles dans les chemins de cette circonscription autour d’un super barbecue ; c’est dire que je connais le coin.

Ça y est enfin, l’abruti public s’est fendu d’un beau texte de réforme afin de rendre la vie plus difficile à ces incapables de ne pas pouvoir bénéficier des largesses du pouvoir.

Ainsi, accoquiné avec sa copine ministre ancienne directeur du personnel d’un grand groupe qui n’a jamais laissé virer les salariés sans donner un grand coup de larmes les citoyens.

Taper sur les plus faibles, c’est que qu’à toujours appris l’ex-boxeur dans son havre pourtant de paix.

Jouer, améliorer ses points forts, c’est pour le gagnant, winner, le plus beau, le plus fort.

Enfoncer le clou sur les points faibles des adversaires trop faibles, c’est l’alpha et l’oméga du sachant fort en thème.

Ainsi donc, la possibilité de toucher ses droits après paiement d’une cotisation contractuelle, sera plus difficile et durera moins longtemps d’autant plus si l’impétrant ne se fait pas bien voir de l’administration qui va être renforcée pour bien cibler là où la patraque doit tomber.

Pour faire contre-partie d’une loi non bipartite, les patrons pourront toujours râler sur le malus appliqué aux contrats courts dont ils abusent tant tant que cela leur rapport plus que leur quotidien.

Car, il faut bien vivre, surtout aux dépens des toujours plus faibles, des toujours moins que rien…

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