Pour le premier étage, ils pourront toujours courir.
Mais tout est prévu, à portée de roues : évier, table de cuisson, four, lave vaisselles et ustensiles de cuisine.
Pour le reste de cuisine, elles n’auront qu’à se faire aider.
Elles ne seront pas autonomes bien qu’il y ait de la place pour aller et venir dans la pièce de vie qui l’est vraiment et au jardin directement accessible.
Mais c’est bien aussi d’avoir pensé aux valides pour qui la prise des condiments et autres en hauteurs leur éviteront un mal de dos bien pensé.
Tonnant dans cette bourgade de 700 habitants abritant un super marché tous les dimanches de l’année mais sans boulangerie ou autres commerces de proximité même si une devanture de boucherie était de bonne augure.
Sauf qu’elle est fermée le dimanche matin et peut-être bien le reste si l’artisan a décidé de prendre ses congés à ce moment.
Sur le marché, des touristes étrangers voulaient faire leur miel d’achat d’abeilles et compagnie.
Mais le marchand n’était point présent avec son étal présent mais vide.
Quelle mouche l’a donc piqué d’être aussi absent le jour du seigneur qui nous a tant donné ? Et si la ruche ne bourdonne plus de ses clients disparus, le marché continue a prix entendu : quelque soit les tréteaux aux produits identique le prix ne diffère en rien.
C’est à ne rien entendre à la vie campagnarde.
De beaux pulls ou cardigans en promotion vous sont vendus 20-30% plus cher que chez votre commerçant implanté.
Mais lui non plus n’est pas.
Il ne vous a pas suivi pour vous satisfaire…
Être pris pour un touriste en pays français, ça vous tourne maboule.
