Ce serait vache de croire que…

(re)Bonne nouvelle : après la formidable escroquerie de la réforme du chômage dans l’intérêt de la population active qui va faire baisser le nombre de chômeurs payés sans faire baisser celui des sans emploi et, accessoirement pour eux le principal, obliger les cadres précédemment considérés comme bien payés, à accepter de travailler pour moins sur un poste moins qualifié piqué à un quidam qui ne pourrait y passer.

Voici venu le marronnier du déficit de la Sécurité Sociale à coup d’économies à 2 milliards l’acte.

Excusez du peu, mais l’on ne peut qu’être fier de ces personnes qui s’occupent si bien de notre santé pour presser les gens à arrêter leur arrêt de travail plus tôt.

Ce qui sera aussi bon pour leur moral.

Ça s’est pour tout de suite complémentairement aux réductions drastiques sur ce qui été avant prévu en remboursement.

Par conte, le 0 reste à charge sur le dentaire verrait peut-être le jour en 2021 et rien à voir avec la nouvelle élection pestilentielle qui se profile à l’horizon non voilé par la pollution.

L’homéo est partie, et tant pis pour ceux qu se considéraient bien soignés après en avoir pris.

Ils devront faire leur parti d’en prendre ou pas et porter selon la décision, nouvelle attaque à leur portefeuille en émoi devant le non-remboursement confirmé et, partant, l’augmentation de la T.V.A sur ces produits devenus luxe.

Tenez, messieurs les politiques, prenez exemple sur les scientifiques médicinaux : peut-être ont-ils trouvé le moyen de guérir le cancer avant qu’il ne se déclare.

Et si ces messieurs et mesdames sur les gradins se disaient que mais oui c’est possible d’agir avant que la pauvreté n’intervienne et partant que le ciel ne nous tombe vraiment sur la tête.

Le Medef fait recul dans sa volonté de faire péter le plafond de verre de l’extrême droite même en faisant croire que la nièce n’est pas pire, dans ses idées, que sa parricide de tante.

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